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Paolo RIZZI – XXème siècle ” Activités sur le Canal, Venise ” – Huile sur toile – 51 x 70 cm

Paolo RIZZI – XXème siècle
” Activités sur le Canal, Venise “
Huile sur toile
Signée en bas à droite
51 x 70 cm

Titre Paolo RIZZI – XXème siècle ” Activités sur le Canal, Venise ” – Huile sur toile – 51 x 70 cm
Descriptif

Paolo RIZZI – XXème siècle
” Activités sur le Canal, Venise “
Huile sur toile
Signée en bas à droite
51 x 70 cm

Tracabilité oui
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Certificat oui
Assurance oui
Secteur Géographique
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Catégorie : Étiquette : Product ID: 13362

Description

 

Sous l’Influence de Byzance

Sur la bordure extrême de l’Adriatique, parmi les paresseuses lagunes saumâtres et le lent va-et-vient des marées, se dresse une ville, Venise. Si ses origines sont enveloppées de mystères, elle révèle peu à peu ses secrets au cours des siècles. Plus personne ne croit à la date fatidique du 25 mars 421 – pas même les Vénitiens – qui marquerait le début de l’heureuse destinée de leur ville. Il est désormais certain que la région où s’élève Venise était une plaine traversée de rivières, et que les hommes se sont établis sur les bandes de terre épargnées par les eaux des raz-de-marée et des inondations. Les fouilles archéologiques démontrent que la structure urbaine de la ville est romaine, et que Venise ne prit une forme semblable à celle d’aujourd’hui qu’au cours du Moyen Age.

 

Venise, XIIIème siècle

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Au Moyen Age, Venise dépend de l’Empire Byzantin puis s’en émancipe peu à peu ; après l’an mille, sa croissance devient évidente : son architecture est le résultat d’un heureux mélange entre les influences du monde oriental et de l’art roman, ainsi que le montrent les précieux édifices comme le cloître pittoresque du couvent Sant’Appolonia achevé en 1109, et la grande basilique San Donato de Murano commencée en 1125.

 

Basilique San Donato, Murano

 

Cloître du couvent Sant’Appolonia, Venise

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Grâce aux services rendus à Byzance, Venise obtient très tôt des privilèges commerciaux qui permettent l’épanouissement de son commerce et de son art.

 

Basilique Saint-Marc, Venise

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D’un point de vue artistique, l’évènement clef est la construction de la basilique Saint-Marc, laquelle devient le miroir de l’idéologie de l’Etat. Dès lors, elle est à la fois la chapelle des doges et la cathédrale de la communauté ; autrement dit, « le trésor des doges » – qui rassemble les biens artistiques de l’Etat – et le lieu de rassemblement des fidèles vénitiens.

Ce grand édifice bâti par la famille Partecipazio entre 828 et 832 est reconstruit à la demande du doge Domenico Contarini (1043-1071).

L’iconographie de la basilique romane reprend le modèle de l’église des Saints-Apôtres de Byzance construite au VIème siècle ; néanmoins, les constructions ne sont pas des calques de l’architecture orientale ; le substrat latin de la villa antique persiste dans le modèle du palais patricien, mêlé au goût local attaché à ses racines culturelles. Ainsi, Venise et son illustre basilique atteignent une maturité stylistique qui détermine son autonomie artistique.

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Au fil des siècles, la République maritime vénitienne devient une puissance principalement tournée vers l’Orient. Venise commence à s’ouvrir aux cultures de la terre ferme seulement vers la moitié du XIVème siècle. L’art vénitien avance à pas mesurés, où seules les innovations extérieures sont choisies si elles se prêtent à son isolement jalousement conservé.

 

Pisanello – Madonne du Palais de Venise, XVème siècle

La Ville Gothique

Les premières approches entre l’art vénitien et la culture italienne de son temps se produisent dans les domaines de l’architecture et de la sculpture. Les églises les plus importantes du XIVème siècle – l’église de Frari (1330) et celle de Santi Giovanni e Paolo (1333) – paraissent liées à leurs origines franciscaines et dominicaines, c’est-à-dire aux ordres religieux proches de la culture gothique française.

 

Première Renaissance

Les débuts de l’art de la Renaissance sont lents en Vénétie car la culture figurative gothique fleurissante de Gentile da Fabriano (1) et de Pisanello (2) persiste. Tandis qu’un nouveau langage artistique commence à poindre en Toscane, particulièrement à Florence, celui-ci se heurte aux courants extrêmes du gothique vénitien et tarde à s’imposer.

 

Entre Tradition & Innovation

Jacopo Bellini (1396-1470) est l’un des artistes le plus doué de son temps. Figure typique de transition, le père de Gentile Bellini (1429-1507) et de Giovanni Bellini (1430-1516) travaille dès 1430 sur sa vision de la Renaissance. Il expose ses idées dans deux recueils, Livres de dessins, lesquels témoignent de la manière dont Jacopo envisage la transition entre le monde gothique et celui de la Renaissance. Son étude de la perspective reste soumise aux conventions apprises auprès de Gentile da Fabriano et de Pisanello, si bien que nous pouvons considérer Jacopo comme un initiateur, introduisant les formes de la Renaissance au milieu vénitien.

 

 

Jacopo Bellini – Madone à l’Enfant bénissant, XVème siècle – Gallerie dell’Accademia, Venise

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Gentile Bellini, le fils de Jacopo, est l’un des premiers entrepreneurs de grands tableaux historiés, lesquels deviennent pour ainsi dire sa spécialité. Procession sur la place Saint-Marc décrit Venise telle une prose littéraire où chaque phrase est joliment tournée. L’espace reste muet, immobile ; la lumière irréelle se heurte à la volonté implacable de peindre le groupe en perspective. Il s’agit d’une écriture d’une excellente qualité graphique qui marque à la fois la grandeur et les limites du dernier représentant d’un monde ordonné.

 

Gentile Bellini – Procession sur la place Saint-Marc, 1490 – 367 x 745 cm – Gallerie dell’Accademia, Venise
Vittore Carpaccio – Rencontre des Fiancés et Départ des Pèlerins, 1495 – Gallerie dell’Accademia, Venise

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Il suffit de comparer les images de Gentile Bellini avec celles de Vittore Carpaccio (1465-1526). Même époque, même endroit, mais une grande différence sépare les deux artistes : chez Carpaccio, tout est en mouvement ; le jeu de couleurs, la distribution architecturale et les dégradés de lumière donnent vie à la scène. Une libre fantaisie remplace l’attention documentaire de Gentile ; l’harmonie entre l’abstraction de la perspective et la représentation du réel est magique.

***

Au XVIème siècle, Giorgione (1477-1510), élève de Bellini, est le chef de file de la première génération de peintres vénitiens. Son activité très brève – de 1500 à 1510 tout au plus – ne l’empêche guère de s’imposer sur ses contemporains. Il dépeint la nature avec une totale indépendance spirituelle, de telle sorte qu’il en naît une forme expressive autonome concentrée sur la couleur et ses valeurs les plus évocatrices.

 

Giorgione – La Tempête, 1506/1508 – Huile sur toile – 82 x 73 cm – Gallerie dell’Accademia, Venise

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Quoique fugace, l’activité de Giorgione impacte le développement de la peinture vénitienne. Dès sa disparition, les amateurs d’art se disputent ses œuvres. Ses tableaux inachevés sont retouchés par quelques-uns des plus grands artistes vénitiens, que les sources indiquent comme ses disciples ; son style singulier inspire même les peintres mineurs, intrigués par le mystère de son approche artistique.

Le message le plus authentique de Giorgione, basé sur les valeurs autonomes de la couleur, est reçu principalement par Titien (1488-1576) qui l’interprète sur-le-champ pour nourrir son humanisme héroïque. Arrivé adolescent à Venise, Titien entre aussitôt en contact avec Giorgione. Le jeune artiste tire du maître des éléments pour élaborer son propre langage, fondamentalement libéré du traditionnel clair-obscur. Titien s’oriente immédiatement vers la manière moderne, transformant la vision idyllique et lyrique de Giorgione en une image plus dramatique de l’humanité. Ainsi, du « naturalisme » de Giorgione, naît le « réalisme » de Titien.

 

Titien – Concert Champêtre, 1500 – Huile sur toile – 105 x 136.5 cm – Musée du Louvre, Paris

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Au cours des premières années du XVIIème siècle, l’évolution de la peinture vénitienne ne peut se dissocier de deux facteurs : l’un d’ordre historique et politique, l’autre d’ordre artistique.

Le premier concerne l’Interdit (3) de Paul V (4) qui interrompt les rapports entre Rome et Venise en 1606 ; par conséquent, il détermine l’involution du maniérisme à Venise, excluant l’apport innovateur du naturalisme du Caravage (1571-1610) et du classicisme de Carrache (1560-1609).

Le second est la disparition des acteurs du Siècle d’Or ; Titien en 1576, Véronèse en 1588, Bassano en 1592 et Le Tintoret en 1594. Seuls des collaborateurs et des imitateurs restent actifs, lesquels peinent à transmettre le génie de ces peintres emblématiques de Venise.

 

Paul Véronèse – La Bataille de Lépante, 1572 – Huile sur toile – 169 x 137 cm – Gallerie dell’Accademia, Venise

 

XVIIIème siècle, Vers le Védutisme

Le rococo, étroitement lié au style rocaille qui naît en France, s’épanouit prodigieusement à Venise. Dès la fin du XVIIème siècle, le mouvement chiarista – « clarifier » en italien – se développe sur les cendres du baroque, valorisant les timbres lumineux, les effets picturaux, les sujets gracieux et les élégances raffinées des compositions. Le style est dominé par la technique improvvisa – « soudaine » en italien – par la légèreté de la touche et l’aisance rapide de l’impression.

Cette reviviscence transparaît chez Luca Giordano (1634-1705), duquel Sebastiano Ricci (1659-1734) se rapproche transmettant ses enseignements à la génération suivante, Giovanni Antonio Pelligrini (1675-1741), Rosalba Carriera (1675-1757), Gianantonio Guardi (1699-1760) et Giambattista Tiepolo (1696-1770).

 

Gianantonio Guardi – Le Mariage de Tobias, 1750 – Eglise dell’Angelo Raffaele, Venise

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Le XVIIIème siècle voit apparaître le védutisme, une peinture de vedute – « vues » en italien – qui offre des images topographiquement exactes, à la perspective monumentale. Un tel genre se réclame d’une esthétique rigoureuse, au-delà d’une vision extravagante ; pour cela, les peintres de vedute utilisent la camera obscura (5), laquelle permet de représenter la réalité le plus fidèlement possible.

Ces peintres « spécialisés » constituent un groupe à part entière dans le milieu de la peinture vénitienne du XVIIIème siècle. Les précurseurs sont des artistes d’origine nordique – tel le peintre suisse Joseph Heintz Le Jeune (1600-1678), auteur d’images kaléidoscopiques de canaux de la ville – dont le goût nordique s’allie parfaitement à la sensibilité de Venise.

 

Joseph Heintz Le Jeune – Vue d’un port imaginaire avec des ruines, une galère au mouillage, animé de pêcheurs et nobles sur la jetée – 1665 – Huile sur toile – 94 x 183 cm

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Toutefois, le genre n’est guère suivi à Venise ; les peintres de vedute obtiennent un faible succès auprès des collectionneurs et des artistes locaux.

Parmi eux, Luca Carlevarijs (1663-1730) semble davantage s’intéresser aux possibilités scénographiques du paysage lagunaire ; grâce à l’adresse d’un illustrateur expert, ses vedute offrent une interprétation charmante de la vie vénitienne. Entre motif architectural et libre élaboration, la production de l’artiste couvre presque entièrement la demande, proposant une illustration qui documente les évènements publics et les festivités.

Carlevarijs doit son succès à une palette brillante, surtout dans ses macchiette – « groupes de figures » – pris sur le vif dans de minutieux dessins au crayon ou à la plume ; il le doit également à sa capacité de rendre l’architecture vénitienne avec précision, bien qu’elle s’estompe souvent dans un brouillard rosé.

Durant les dix dernières années de sa vie, Carlevarijs doit faire face à l’astre naissant du védutisme vénitien, Antonio Canal dit Canaletto (1697-1768).

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« Pour le Canaletto, son métier est de peindre des vues de Venise ; en ce genre il surpasse tout ce qu’il y a jamais eu. Sa manière est claire, gaie, vive, perspective et d’un détail admirable. Les Anglais ont si bien gâté cet ouvrier, en lui offrant de ses tableaux trois fois plus qu’il n’en demande, qu’il n’est plus possible de faire marché avec lui. »

Charles de Brosses (1709-1777), historien français – Lettres Familières, 1739.

 

Luca Carlevarijs – Régate en honneur de Frédéric IV du Danemark, 1709 – Château de Fredericksborg, Danemark

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Au temps de la Sérénissime, le Môle est « la » scène d’intenses activités ; lieu de rencontres et de négociations commerciales, il est aussi celui des réjouissances et des cérémonies au cours desquelles les ambassadeurs remettent leurs lettres de créances aux doges…

Canaletto débute au côté de son père, peintre de décors de théâtre ; tous deux prennent part à la mise en scène de divers mélodrames à Rome et à Venise.

Lassé et pris d’une crise de conscience artistique, Canaletto quitte le monde du théâtre pour se tourner vers la nature ; il peint sur ses toiles, fortes de son sens de la perspective de décorateur, les paysages et les vues que la ville lui offre.

Influencé par les fantaisies et les ruines de Marco Ricci (6) ainsi que par le réalisme de Bernardo Bellotto (1721-1780), Canaletto parvient à mettre en scène la Venise fastueuse des grands jours de même que la Venise paisible des travailleurs du quotidien.

 

Canaletto – Arrivée de l’Ambassadeur de France à Venise, 1720 – Huile sur toile – 181 x 259.5 cm – Musée de l’Ermitage, Saint-Pétersbourg
Canaletto – Bucentaure au Môle le jour de l’Ascension, 1730 – Collection particulière
Canaletto – Rio dei Mendicanti, 1723 – Huile sur toile – 143 x 200 cm
Cercle de Bernardo Bellotto – Le Grand Canal, Venise, regardant vers l’Est depuis le Campo San Vio – Huile sur toile – 66 x 85.8 cm – Vendu £ 224 750 chez Christie’s, Londres, 2018

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Qu’il s’agisse du Grand Canal ou des rios de la ville, Canaletto les utilise comme scénographie où les palais et leurs reflets se mêlent à l’effervescence des hommes et des barques. Il se plaît à montrer ce tissu urbain, au-delà des murs décrépis rongés par l’humidité, immergés dans une lumière chaude et sensuelle empreinte d’une impalpable tristesse. Nourri par son instinct théâtral, il voit les deux rives s’enfoncer là où l’œil se perd, tandis qu’apparaît, derrière le rideau de la scène, la vie vénitienne.

 

Canaletto – Vue du Grand Canal depuis le palais Balbi vers le pont du Rialto, 1726/1728 – Huile sur toile – 45 x 73 cm – Galerie de Offices, Florence

 

Vers le Romantisme, Francesco Guardi

La tradition présente Francesco Guardi (1712-1793) comme le dernier représentant des peintres védutistes, comme « le bon élève de Canaletto ». Si Guardi reprend ses scènes urbaines, un grand écart sépare les deux artistes ; leur milieu, leur tempérament et leur langage artistique se confrontent et se répondent.

Indiscutablement, ils sont les deux meilleurs peintres de vedute à Venise. Par la force des choses, Guardi remplace Canaletto lorsque celui-ci quitte Venise pour l’Angleterre, et que son élève Michele Marieschi (1710-1743) meurt en 1743. A ce moment-là, la peinture védutiste n’a pour ainsi dire plus de figure ; Guardi décide de se consacrer au genre.

Guardi innove quant à son interprétation de la lumière ; elle devient fantastique, elle évoque une atmosphère vibrante et floue à la fois. Le lyrisme de Guardi transcende le réalisme de Canaletto en faveur d’un monde fugace chargé d’émotions.

La vision moderne de Guardi est telle « une impression sentimentale ».

Dans une série d’illustrations sur le thème exclusif de la Venise du XVIIIème siècle, Guardi annonce la décadence avec une nostalgie romantique : des vieux crépis cuits par le soleil, des canaux bondés de barques, des gondoles aux cabines de travers et des figures de proue presque croulantes ; les conversations des patriciens semblent mélancoliques…

 

Francesco Guardi – Le Doge de Venise sur le Bucentaure près du Riva di Sant’Elena, 1775/1780 – Huile sur toile – 66 x 101 cm – Musée du Louvre, Paris

Francesco Guardi – Vue du Grand Canal, Venise, 1780
Francesco Guardi – Venise, le Palais de Doges et le Môle vus du Bassin de Saint-Marc, 1770 – Huile sur toile – 58 x 76 cm – National Gallery, Londres

 

Paolo Rizzi, Activités sur le Canal, Venise

 

Paolo Rizzi – Activités sur le Canal, Venise, XXème siècle – Huile sur toile – 51 x 70 cm

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Paolo Rizzi est un peintre des environs de Venise qui vit et travaille en France depuis les années 1980.

Comment ne pas percevoir l’influence certaine de ses aînés sur cette toile lumineuse, dont l’atmosphère, la perspective et l’impression s’apparentent à celles des peintres de vedute du XVIIIème siècle.

Rizzi éprouve le même goût de la mise en scène. Il compose son tableau comme un vaste panorama, conjuguant l’effet d’ensemble au souci du détail pittoresque. La lumière et la couleur structurent le décor ; la perspective distingue les plans. Une légère houle répond aux nuages parsemés, tandis que quelques hommes s’activent. Dans un cadre qui évoque le décor de théâtre, les bateaux mouillent dans une crique de la ville, les gondoles parsèment l’arrière-plan…

Paolo Rizzi agence un ensemble narratif savoureux.

 

Clin d’Œil, Le Violon de Noé

Une création originale et insolite du sculpteur sur bois vénitien Livio De Marchi remplace le temps d’un concert les gondoles de Venise. Inauguré le 18 septembre dernier sur le Grand Canal,
ce violon géant de 12 mètres de long et 4 mètres de large accueille les musiciens aux pieds marins sur quelques notes de Vivaldi…

 

 

***

 

Notes : 

1- Gentile di Niccolò di Giovanni Massi (1370-1427), dit Gentile da Fabriano est un peintre italien connu pour sa contribution au style gothique international italien.

2- Pisanello, de son vrai nom Antonio di Puccio Pisano (1395-1455) est un peintre, médailleur et enlumineur de la Renaissance italienne et du Quattrocento, dernier représentant du style gothique international.

3- Dans le droit canonique, l’Interdit est une peine expiatoire abondamment utilisée par la papauté contre les rois et les princes qui entendaient limiter son pouvoir spirituel.

4- Camille Borghèse (1550-1621) devient le 233ème pape de l’Eglise catholique en 1605 sous le nom de Paul V.

5- Une chambre noire – « camera obscura » en latin – est un instrument optique qui permet d’obtenir une projection de la lumière sur une surface plane. Elle est l’ancêtre de la photographie.

6- Marco Ricci (1676-1730), peintre de vedute, neveu du peintre baroque vénitien Sebastiano Ricci (1659-1734).

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